Présentation obligatoire d’une attestation d’équipement pour l’éthylotest anti-démarrage

L’éthylotest anti-démarrage (EAD) est un petit dispositif installé sur une voiture et qui est branché au démarreur de celle-ci. Le véhicule ne peut pas démarrer tant que le conducteur n’a pas soufflé dans l’éthylotest anti-démarrage (EAD) qui va mesurer la quantité d’alcool dans l’haleine de celui-ci. Si le taux dépasse le maximum accepté par la loi, l’automobile ne démarre pas. Dans le cas contraire, elle  peut démarrer.

Il existe un certain nombre de personnes à qui un juge interdit de conduire une voiture non équipée d’un éthylotest anti-démarrage (EAD). Il s’agit d’individus qui ont commis soit un délit de conduite en état d’ivresse manifeste, soit un délit de conduite en état alcoolique. Ceux qui ont provoqué des blessures ou un homicide involontaires en état alcoolique ou qui ont pris la fuite après avoir occasionné un accident sont également concernés par cette sanction judiciaire.

Autorisation de conduire un véhicule équipé d’EAD

Le gouvernement a fait publier au journal officiel du 30 septembre dernier un décret concernant l’obligation d’équiper certains véhicules d’un éthylotest anti-démarrage (EAD). A partir du 1er décembre 2016, « tout conducteur faisant l’objet d’une décision préfectorale d’aptitude temporaire à la conduite avec l’obligation de conduire un véhicule équipé d’un dispositif » homologué d’anti-démarrage par éthylotest électronique (EAD) devra présenter une attestation prouvant l’existence de cette installation.

En résumé donc, une personne obligée par la loi d’équiper sa voiture d’un EAD devra désormais montrer une attestation  d’installation de ce dispositif sur son véhicule quand les forces de l’ordre lui en feront la demande.

Permis de conduire et assurance également exigés   

Ce décret exige également que le conducteur soit en possession d’un permis de conduire valide et que le véhicule qu’il conduit soit couvert par une assurance auto. S’il n’en pas encore souscrit une,  le recours à un comparateur de l’assurance auto lui permettra de trouver rapidement une offre correspondant à ses besoins et à son budget.

S’il possède ces trois documents, il peut demander une mainlevée d’une prescription de mise en fourrière de sa voiture. Mais s’il lui manque un de ces documents, celle-ci restera en fourrière. Cependant, si l’attestation d’assurance est entre ses mains, il est possible de faire remorquer le véhicule vers un endroit choisi par le propriétaire. Il faut seulement que ce remorquage soit effectué par un professionnel qualifié.

Importance du devis assurance auto

Une assurance auto est un contrat qui lie une compagnie d’assurance avec le propriétaire d’un véhicule pendant une période déterminée, généralement une année. Ce document constitue la seule référence valable pour connaitre si une indemnisation peut être réclamée par l’assuré auprès de l’assureur. Il est donc important de faire un comparatif des offres de différentes compagnies afin d’être sûr d’avoir les garanties adéquates et à un prix intéressant.

Qu’est-ce qu’un devis assurance automobile ?

Une assurance auto est destinée à protéger une personne en cas de sinistre et d’indemniser les dommages que celle-ci a pu subir ou qu’elle a causés à autrui. Cependant, les besoins en assurance diffèrent pour chaque individu. Généralement, il a le choix entre le minimum, à savoir l’assurance Responsabilité civile, et le maximum, c’est-à-dire l’assurance tous risques. Il existe cependant différentes options qui peuvent influer sur les garanties dont il a besoin et par conséquent sur le montant de ses primes.

Lorsqu’une personne contacte une compagnie d’assurance en vue de s’assurer, un certain nombre de renseignements lui sont demandés par celle-ci. Il s’agit principalement d’informations personnelles sur le futur assuré et ses antécédents en tant que conducteur ainsi que sur le véhicule à assurer. C’est sur la base de ces indications que la compagnie pourra être en mesure de proposer un devis d’assurance.

Toujours comparer afin de décider sereinement          

Il est recommandé de toujours effectuer une comparaison d’assurance auto, c’est-à-dire des devis présentés par plusieurs compagnies d’assurance, afin d’avoir la possibilité de choisir l’offre la plus intéressante. Grâce à la magie d’Internet, il est désormais facile d’utiliser un comparateur de l’assurance auto en ligne. Cela dispense de faire le tour des assureurs et donc de perdre du temps. De surcroit, ces comparateurs sont généralement gratuits. Enfin, ils permettent de trouver en quelques clics seulement les offres les moins chères pour des garanties équivalentes.

Il faut souligner qu’un devis d’assurance automobile n’engage aucunement le propriétaire du véhicule ni la compagnie d’assurance. Si les deux parties ne trouvent pas d’accord à partir de ce document de base, aucune des deux ne doit dédommager l’autre. Par contre, si un accord est conclu, c’est le devis qui va servir de point de départ au contrat d’assurance ainsi qu’à la fiche d’information.

Sécurité routière : campagne contre le téléphone au volant

En septembre dernier, la Sécurité routière a lancé une campagne afin de rappeler aux automobilistes le danger du téléphone au volant. Or, ce risque semble de plus en plus ignoré par les Français, déplore Anne Lavaud, déléguée générale de l’Association Prévention routière. Car, si 90 % Français jugeaient dangereux le téléphone au volant en 2004, cette proportion est descendue à 51 % actuellement. D’où la nécessité de faire une piqûre de rappel aux conducteurs par le biais d’une campagne de sensibilisation choc.

Téléphone au volant rime avec risque d’accident

Même le conducteur qui dispose d’une assurance auto valide peut être tenté d’utiliser son téléphone au volant. Un Français sur dix reconnait d’ailleurs écrire ou lire des textos tout en conduisant. Certains se hasardent même à regarder un film sur leur tablette ou à répondre à un mail via leur Smartphone.

Or, ce comportement augmente le risque d’accident sur les routes. D’après les statistiques de la Sécurité routière, un accident corporel sur dix serait causé par l’usage du téléphone au volant. Le risque d’accident est multiplié par 23 quand une personne rédige un message tout en conduisant. Ceci l’oblige à quitter la route des yeux pendant au moins 5 secondes. Dans la pratique, cela se traduit par 70 mètres parcourus si la voiture roule à 50 km/h.

Une campagne choc

Le slogan de la Sécurité routière dans cette campagne est : « Quand vous regardez votre téléphone, qui regarde la route ? ».  Cette annonce est diffusée dans un court-métrage intitulé « La dernière classe » et des conseils sont prodigués au public à la fin du film. Pour obtenir une meilleure efficacité, cette campagne télévisée et radio diffusée est couplée avec des affiches placées sur les bus de 40 villes en France.

De cette façon, cet organisme entend compléter la politique répressive qui est en vigueur actuellement. En effet, un conducteur surpris en train de téléphoner au volant risque 135 euros d’amende et un retrait de 3 points sur son permis.

Nécessité de bien s’assurer

Même si une personne prend toutes les précautions pour éviter tout accident, cela ne signifie pas qu’il en est à l’abri. Grâce à un comparateur de l’assurance auto, il est facile de trouver un assureur qui propose toutes les garanties qu’elle souhaite et à un tarif moindre.

L’assurance auto bientôt indispensable pour récupérer une voiture en fourrière

Le Fonds de garantie des assurances obligatoires (FGAO) estime à 750 000 environ le nombre de conducteurs qui roulent sans une assurance auto. Or, la souscription d’une telle assurance est obligatoire selon la législation en vigueur. Tout contrevenant est d’ailleurs passible d’une amende pouvant s’élever jusqu’à 3 750 euros. Cette sanction peut être assortie d’une suspension de permis de conduire d’une durée de 3 ans ou même de la confiscation de la voiture. Ce qui ne semble pas dissuader les conducteurs qui sont encore nombreux à se hasarder sur les routes sans assurance. Or, il leur suffit d’utiliser un comparatif d’assurance disponible sur la toile pour trouver une offre compatible avec leurs besoins et en totale adéquation avec leur budget.

Une action au niveau des fourrières

C’est pour donner un coup de frein à ce phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur que le gouvernement a décidé de prendre des mesures dans ce sens. Déjà annoncée en octobre 2015 par le Comité Interministériel pour la Sécurité Routière (CISR), ces nouvelles dispositions ont pour principal objectif de lutter contre le défaut d’assurance. Elles comprennent la présentation d’une attestation d’assurance au moment de l’immatriculation d’un véhicule ainsi que la création d’un fichier des véhicules assurés.

En outre, quand une voiture est mise en fourrière, son propriétaire ne pourra la récupérer qu’en présentant une attestation d’assurance auto valide. Il faut noter qu’en 2015, environ 20 000 véhicules ont été enlevés à Marseille contre 15 000 à Lyon et près de 250 000 pour Paris. Une voiture a donc été mise en fourrière toutes les deux minutes dans la capitale au cours l’année dernière.

Une mise en vigueur d’ici la fin de l’année

Cette obligation entrera probablement en vigueur d’ici la fin de l’année. En effet, le décret concernant cette mesure sera publié au journal officiel la semaine prochaine. En tout cas, c’est ce qu’a annoncé Emmanuel Barbe, délégué interministériel à la sécurité routière, au cours d’un colloque ayant pour thème la non-assurance routière.

Les personnes qui conduisent sans assurance ont donc quelques mois pour régulariser leur situation. Il leur suffit d’utiliser un comparateur de l’assurance auto pour découvrir les offres qui correspondent à leur profil. La comparaison d’assurance auto leur permet d’ailleurs d’obtenir des offres abordables et ce, sans perdre du temps.

Les conséquences d’une conduite en état d’ivresse

Dans les années 1980, la Sécurité Routière avait mis en avant le slogan « Boire ou conduire, il faut choisir » afin d’inciter les automobilistes à ne pas boire au volant. En 2016, l’alcool constitue toujours une des principales causes des accidents de la route, engendrant des centaines de morts et des milliers de blessés chaque année. Outre les pertes de vie humaine et les dégâts matériels, les conséquences d’un verre de trop sur le plan pénal et sur l’assurance auto méritent d’être mises en avant.

Qu’est-ce que conduire en état d’ébriété ?

Afin d’éviter tout malentendu, la notion d’état d’ivresse doit être bien comprise par les automobilistes, et notamment par les jeunes qui viennent d’avoir leur permis. Selon l’article L234-1 du Code de la route, une concentration d’alcool supérieure ou égale à 0,8 g/l dans le sang est synonyme d’ébriété. De même, si l’air expiré par le conducteur concentre 0,4 mg/l d’alcool ou plus, l’état d’ivresse est avéré. Enfin, il est important de noter qu’il est interdit de prendre le volant avec un taux d’alcoolémie de plus de 0,5 g/l. Si le chauffeur est titulaire d’un permis probatoire, ce taux descend à 0,2 g/l, et ce depuis le 1er juillet 2015.

Assurance auto : conséquences de la conduite en état d’ivresse

Il faut tout d’abord souligner que toute personne qui conduit en état d’ébriété et qui occasionne un accident se voit suspendre provisoirement son permis de conduire. Cette suspension peut être étendue jusqu’à 3 ans, sans compter l’obligation d’indemniser les victimes de l’accident. Comme généralement, tout véhicule qui roule est couverte par une assurance auto, c’est la compagnie d’assurance qui va d’abord indemniser les victimes.

Le conducteur peut également se voir retirer 6 points sur son permis de conduire, voire son annulation s’il est récidiviste. Le véhicule peut par ailleurs être immobilisé pour une période non définie et le chauffeur fautif être obligé de suivre un stage de sensibilisation. Il peut même encourir une peine d’emprisonnement qui peut aller jusqu’à 2 ans ou payer une amende pouvant s’élever jusqu’à 4 500 euros. Par ailleurs, qu’il soit responsable ou non de l’accident qu’il a provoqué, un conducteur en état d’ivresse ne sera jamais indemnisé.

En ce qui concerne l’assurance automobile, il est possible que la compagnie d’assurance va majorer la prime. En cas d’infractions multiples, celle-ci pourra être rehaussée de 400 % et de 150 % s’il n’est pas constaté d’autres infractions sanctionnées. Même en utilisant un comparateur de l’assurance auto, il sera difficile au contrevenant de trouver des offres intéressantes compte tenu de ses antécédents. En effet, les offres obtenues par la comparaison d’assurance auto ne concernent que les conducteurs standards, c’est-à-dire qui ne sont pas sanctionnés par des infractions au Code de la route.

Plus de 400 radars mobiles déployés en France en 2018

D’après les chiffres publiés par l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), 3 616 personnes sont mortes d’accident de la route en France en 2015. Cet organisme constate une augmentation de 1,7 % de ces décès par rapport à 2014. Et en ce qui concerne le mois d’août 2016 qui correspond au retour des vacances, l’observatoire constate une diminution de 9 % de la mortalité par rapport à la même période de l’année dernière. Cependant, le gouvernement n’entend pas dormir sur ses lauriers et souhaite renforcer les contrôles mobiles sur les routes et autoroutes hexagonales.

Bien s’assurer pour rouler sereinement              

Face au nombre impressionnant d’accidents sur les routes, l’assurance auto représente la meilleure solution pour espérer être indemnisé en cas de sinistre. Il suffit d’ailleurs d’utiliser un comparateur de l’assurance auto pour trouver l’offre qui cadre le plus avec son budget et qui présente les meilleures couvertures. Par ailleurs, comme les assureurs rivalisent en matière de tarif, il est possible de réaliser des économies substantielles en effectuant une judicieuse comparaison d’assurance auto.   

L’Etat mise sur la prévention

Si l’assurance auto constitue la sécurité en aval pour indemniser les éventuelles victimes d’un accident, l’Etat préfère travailler en amont et favoriser la prévention. C’est ainsi qu’il prévoit de mettre en place 121 voitures-radars d’ici 2018. Celles-ci vont renforcer les 319 véhicules banalisés dotés de radars mobiles qui sont actuellement en service. Dès 2018 donc, il y aura environ 440 véhicules de contrôle sur les routes de France, afin d’augmenter la sécurité de tous les usagers de la route.

Actuellement, le radar flashe tout véhicule qui roule au-dessus de 102 km/h sur une route départementale ou nationale où la vitesse est limitée à 90 km/h. Ce dispositif se met également en action si une voiture dépasse les 146 km/h sur autoroute où la limitation de vitesse est de 130 km/h. Enfin, le radar se déclenche quand l’automobile roule à plus de 124 km/h sur une voie express où elle ne devrait pas excéder la vitesse de 110 km/h.

Privation des radars mobiles

Une voiture équipée d’un radar mobile coûte 70 000 euros à l’achat auxquels il faut ajouter 18 000 euros d’entretien annuel. Afin de rentabiliser son investissement, l’Etat souhaite faire circuler davantage ces automobiles de contrôle. En effet, par manque de personnel, un véhicule-radar banalisé n’est en moyenne utilisé qu’une heure et treize minutes par jour. La solution trouvée par le gouvernement est de privatiser ces voitures-radars, et ce dès 2017. Pour rappel, ces véhicules ont flashé 1,5 million de fois en 2015.

Mise en place prochaine d’un fichier pour voitures non assurés

C’est en 1958 qu’a été rendu obligatoire en France la souscription d’une assurance auto comprenant au minimum la responsabilité civile, également appelée « assurance au tiers ». Cela signifie que toute voiture qui roule sur les routes et autoroutes hexagonales doit être assurée. Or, le Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO) estime entre 370 000 et 750 000 le nombre de véhicules non assurés qui circulent en France. Cela représente près de 2 % du parc automobile français.

Un phénomène qui coûte cher 

Rappelons qu’en 2015, le FGAO a payé 92 millions d’euros aux victimes d’accidents ayant comme acteur des voitures roulant sans assurance. Bien qu’un certain nombre de comparateur de l’assurance auto soit disponible gratuitement sur Internet, nombreux sont les conducteurs qui osent rouler sans avoir souscrit une assurance. La conséquence se traduit par quelque 28 000 dossiers d’accidents matériels et corporels traités en 2015par l’organisme concerné, le FGAO en l’occurrence.

Pour enrayer ce phénomène qui tend à prendre de plus en plus d’ampleur, la solution préconisée par le fonds est de forcer les automobilistes à souscrire une assurance auto. Ils peuvent pour cela effectuer une comparaison d’assurance auto afin de trouver rapidement et sans effort l’offre qui leur parait la plus intéressante.

Vers la création d’un fichier automatisé    

Afin d’atteindre cet objectif, le gouvernement prévoit de mettre en place à l’horizon 2018 un fichier national qui permettra de traquer les voitures non assurées. Dans cette optique, Jean-Jacques Urvoas, ministre de la Justice, va présenter ce mardi 4 octobre un amendement devant la Commission des lois. Concrètement, cette mesure, si elle est adoptée, va prolonger l’application du dispositif Lecture automatisée de plaques d’immatriculation (LAPI) afin de détecter automatiquement les voitures non assurées.

Ainsi donc, les lecteurs automatiques de plaques d’immatriculation et les dispositifs de contrôle automatisé pourront être associés à ce nouveau fichier. Celui-ci sera d’ailleurs croisé avec les fichiers des compagnies d’assurance automobiles et le fichier du Système d’immatriculation des véhicules (SIV) pour une meilleure efficacité. A l’occasion d’un contrôle routier ou dès qu’un véhicule commet une infraction qui est détectée par radar, ce fichier sera automatiquement consulté pour savoir s’il est assuré ou non. Il faudra présenter obligatoirement une attestation d’assurance pour retirer une voiture mise en fourrière ou pour l’immatriculer.

Les propriétaires de véhicules non assurés peuvent dès aujourd’hui faire une comparaison d’assurance auto afin de prévenir l’immobilisation de leur véhicule à l’avenir. Il existe d’ailleurs un grand nombre de comparatif d’offre assurance auto qu’ils peuvent utiliser pour réaliser des économies et éviter toute perte de temps.

Comment choisir sa première voiture ?

Une fois le fameux permis de conduire en poche, le jeune conducteur n’a qu’une seule envie en tête : celui de conduire sa propre voiture. L’achat d’un véhicule constitue généralement la solution qu’il privilégie par rapport à la location, même de longue durée. Devant le nombre d’options qui s’offrent à lui, le futur conducteur se trouve souvent embarrassé et peut être amené à faire de mauvais choix. Voici un petit guide pour l’aider à prendre la meilleure décision.

Opter pour l’occasion au lieu du neuf   

Un jeune conducteur dispose généralement d’un budget restreint pour acheter sa première voiture. Il lui appartient dans ce cas d’utiliser un comparatif pour voitures d’occasions afin de trouver la meilleure offre et celle qui cadre le plus avec son budget. Outre qu’elle nécessite d’immobiliser un capital important, l’acquisition d’un véhicule neuf entraine également une décote conséquente. Celle-ci tourne en effet autour de 15 % la première année. Une voiture d’occasion n’engendrerait pas une telle décote.

Penser également aux dépenses annexes

D’après une étude réalisée en janvier 2016 par un portail spécialisé en comparateur de l’assurance auto pour les jeunes, ceux-ci sont réticents à faire des dépenses supplémentaires pour les frais annexes. Ainsi, 39 % des jeunes interrogés de 18 à 24 ans optent pour une assurance auto au tiers, qui constitue d’ailleurs le minimum légal en la matière. Effectuer une comparaison d’assurance auto leur permet dans ce cas de bénéficier de tarifs intéressants.

Opter pour une voiture économe en carburant

Lorsqu’il achète une voiture, le jeune a le choix entre un modèle fonctionnant à l’essence ou au diesel. En cas de doute, mieux vaut demander l’avis d’un garagiste ou d’un proche qui possède déjà une automobile. Sinon, il est toujours possible de chercher la consommation au 100 km de la voiture pour avoir une idée du budget à prévoir.

Choisir une voiture avec une faible puissance

De cette façon, le jeune conducteur aura moins de risques de faire des accidents. De plus, ce critère est déterminant dans l’indexation du tarif de l’assurance. Utiliser un comparatif d’assurance automobile lui permettra de trouver la couverture la plus satisfaisante et également la moins chère.

C’est pourquoi il est conseillé d’opter pour une voiture ayant une puissance de 4 à 5 chevaux fiscaux qui correspond généralement à une offre intéressante en matière d’assurance automobile.  Il faut en outre souligner que la plupart des assureurs refusent de couvrir un jeune automobiliste pour une voiture de plus de 70 chevaux.

Assurance automobile et covoiturage avec une voiture de fonction

Le covoiturage est un concept très en vogue à l’heure où la lutte contre la pollution et les embouteillages ainsi que la préservation de l’environnement est à son apogée. Il permet en effet d’effectuer un trajet à plusieurs, offrant aux passagers l’opportunité de laisser leur propre voiture au garage. Le conducteur ainsi que ses compagnons de voyage se partagent les dépenses comme le carburant, les péages et les frais de parking. Cela permet à chacun de faire des économies et soulage la circulation, notamment à l’entrée des grandes villes et dans les centres-villes.

Par ailleurs, il est courant de faire du covoiturage avec sa voiture personnelle. Les personnes qui sont dotées de voiture de fonction peuvent être tentées de faire de même. Il serait intéressant de voir si cette pratique est légale et quelle serait ses conséquences au niveau de l’assurance auto.

Notion de covoiturage et voiture de fonction

Le covoiturage peut se traduire par le fait d’embarquer un ou plusieurs passagers afin d’effectuer un même trajet. A la différence de l’autostop, ces passagers participent aux différentes dépenses liées au déplacement. Il faut cependant souligner que le conducteur ne peut en aucun chercher à réaliser des bénéfices car, sinon, le principe même du covoiturage est dénaturé. Il existe d’ailleurs de nombreux sites spécialisés dans ce domaine.

Une voiture est dite de fonction quand elle est mise à la disposition permanente d’un salarié par son employeur. Le premier peut donc s’en servir aussi bien pour ses déplacements professionnels que le weekend ou en vacances.

Quid de l’assurance ?   

Pour savoir si une personne peut faire du covoiturage avec sa voiture de fonction, il lui faut lire attentivement le contrat d’assurance de l’automobile ainsi que son contrat de travail. Le premier document indique clairement si l’assurance couvre le conducteur en cas d’accident lors d’un covoiturage. Le second document permet de connaitre les conditions d’utilisation du véhicule. Il peut également stipuler si le covoiturage est autorisé ou non au cours d’un trajet professionnel.

Si le salarié souhaite donc faire du covoiturage avec sa voiture de fonction et que son contrat d’assurance auto ne le lui permet pas, il peut demander à son employeur de changer d’assureur. La comparaison d’assurance auto offre généralement la possibilité de trouver la meilleure offre en la matière et de réaliser en même temps des économies. Le recours à un comparateur de l’assurance auto permet en outre de gagner du temps, ce qui est appréciable dans une entreprise.